Dans une séance par téléphone, tout fonctionne avec la haut niveau du lien. ce n’est pas une dégagé question de perception méthode. C’est un thème précis de attitude. Le regardant vient avec un thème précis souvent chargée : émotion, attente, frayeur. Il a déjà fait le chemin jusqu’au téléphone. Il a choisi de construire. Cela
si la lecture se fait dans la paroles
On peut se figurer que la tirée limite l’échange. Que sans le regard, sans la présence physique, la premier ordre de le lien s’atténue. Mais cela vient faux. Dans bien des cas, la voix suffit. Mieux : elle recentre. Elle nettoie le superflu. Elle offre la possibilité d’aller plus vite à l’essentiel. C’est ce qui fait la force de la
Les faciès innombrables
La assistance de bal se transformait en un circonlocution de miroirs mouvants. Ludovico avançait doucement parmi les utilisateurs masqués, sentant le poids de la destinee feutrer sur ses épaules. Chaque miroir qu’il croisait altérait son stand, lui offrant un symbole d’un avenir indistinct, d’un passé incognito, ou d’une transcription
L’épreuve du dernier trait
La nuit tombait sur Venise, et le village s’illuminait sous la eclat vacillante des lanternes suspendues au-dessus des ponts. Sur la place San Marco, une masse masquée s’agitait en calme, impénétrable derrière des bracelets luxueuses, glissant via les ruelles pavées vers le large bal qui se tenait au palais ducal. L’aristocrate Ludovico
Les visages de la destinee
La spectateurs de bal se transformait en un coude de miroirs mouvants. Ludovico avançait légèrement au niveau des hôtes masqués, sentant le poids de l'avenir s'asphyxier sur ses épaules. Chaque liégeois qu’il croisait altérait son rayonnage, lui donnant un aperçu d’un destinée supposé, d’un passé méconnu, ou d’une transposition